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Christine Doyon et Ariane Louis-Seize remportent le Prix Jacques-Marcotte à l'occasion du 75e anniversaire de la SARTEC

30 mai 2024
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Communiqué de presse

 

Montréal, jeudi 30 mai 2024 – À l’occasion d’une soirée festive rassemblant près de 100 membres et partenaires de la SARTEC venus célébrer les 75 ans du syndicat, le Prix Jacques-Marcotte 2024 a été remis à Christine Doyon et Ariane Louis-Seize pour le scénario écrit à quatre mains du film Vampire humaniste cherche suicidaire consentant.

Chantal Cadieux, présidente de la Société des auteurs de radio, télévision et cinéma (SARTEC), a remis le prix conjointement avec Marie-Christine Cojocaru, directrice de la Caisse Desjardins de la Culture, institution partenaire du prix et présentatrice de la soirée événement.

Le Prix Jacques-Marcotte est un prix remis par les pairs. Tous les membres de la SARTEC avaient été appelés à voter pour leurs scénarios favoris, élisant ainsi cinq scénarios parmi les films sortis en 2023. La SARTEC tient à féliciter les autres scénaristes finalistes de cette 4e édition : Éric K. Boulianne et Francis Leclerc pour Le Plongeur, Pascal Plante pour Les Chambres rouges, Monia Chokri pour Simple comme Sylvain et Sophie Dupuis pour Solo.

Le jury final qui les a départagés était constitué des scénaristes Chantal Cadieux, India Desjardins et Guillaume Vigneault. Vampire humaniste cherche suicidaire consentant les a conquis avec son histoire résolument contemporaine, nuançant habilement les codes du genre, dépeignant avec humour et sensibilité le récit initiatique d’une adolescente rebelle de 78 ans et laissant le public sur une note d’espoir rouge sang.

« Je suis sincèrement touchée que ce soit un prix remis par les pairs, merci infiniment ! » déclare Christine Doyon, venue recevoir le prix à l’Espace Rodier, à Montréal. « Avec Ariane, nous avons écrit Vampire pendant la pandémie, avec beaucoup de plaisir malgré les sujets difficiles qu’il aborde : c’est un film qui parle de suicide, d’isolement et de solitude, ce qui n’est pas si pire pour une comédie... mais c’est aussi un film très québécois. Nous avons eu la chance de le vendre dans 55 pays, et je suis fascinée de voir que nos blagues de pantoufles et de poutines fonctionnent en dehors de chez nous. À l’étranger, on nous dit qu’il se passe définitivement quelque chose au Québec avec le cinéma. »

Les lauréates Christine Doyon et Ariane Louis-Seize se partageront la Bourse Caisse Desjardins de la Culture — SARTEC de 10 000 $. « La Caisse Desjardins de la Culture est fière d’être partenaire du Prix Jacques-Marcotte depuis sa création il y a quatre ans. Nous sommes heureux de célébrer ensemble le métier de scénariste et l’art d’écrire les histoires qui nous font vibrer », souligne Marie-Christine Cojocaru, directrice générale de la coopérative financière.

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Voir les PHOTOS

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Sur la photo : Christine Doyon, co-lauréate du Prix Jacques-Marcotte avec Ariane Louis-Seize (absente sur la photo), est entourée de Chantal Cadieux, présidente de la SARTEC et membre du jury, Pascal Plante, co-finaliste, Marie-Christine Cojocaru, directrice générale de la Caisse Desjardins de la Culture, et India Desjardins, scénariste, auteure et membre du jury.

Crédit photo : Maryse Boyce.

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À propos du Prix Jacques-Marcotte

Conçu pour récompenser l’excellence de l’art d’écrire un scénario au cinéma, et ce par un jury de pairs, le prix honore la mémoire du grand scénariste Jacques Marcotte, auteur ou coauteur d’œuvres marquantes telles Bar Salon, L’Eau chaude, l’eau frette, Au clair de la lune, Une histoire inventée, Le Vent du Wyoming ou L’Âge de braise.

Les précédents récipiendaires du prix sont :

  • Naomi Fontaine et Myriam Verreault pour Kuessipan.
  • Pascal Plante pour Nadia, Butterfly et Sophie Dupuis pour Souterrain (ex-æquo).
  • Sara Mishara et Ivan Grbovic pour Les oiseaux ivres.

 

À propos de la SARTEC

Depuis 1949, la Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma (SARTEC) regroupe les auteurs qui écrivent en français nos œuvres télévisuelles et cinématographiques pour tous les écrans. Elle intervient auprès des pouvoirs publics, négocie des ententes collectives, conseille les auteurs sur leurs contrats, contribue au respect de leur travail et leur offre divers autres services.

 

À propos de la Caisse Desjardins de la Culture

Alliée des artistes, moteur de l’économie culturelle et tremplin pour les organismes et les entrepreneurs, la Caisse Desjardins de la Culture est une coopérative financière solidement ancrée dans son milieu. Depuis 30 ans, elle accompagne les artistes, artisans et travailleurs autonomes dans la réalisation de leurs projets personnels et professionnels, offre aux entreprises et organismes culturels des services financiers adaptés à leur réalité et participe au développement socioéconomique du milieu culturel en soutenant des démarches et des projets structurants.

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