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Remaniement ministériel : la SARTEC rassurée par la reconduction du ministre Mathieu Lacombe

10 septembre 2025
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Communiqué de presse

Montréal, le 10 septembre 2025 - Alors que des chantiers structurants sont en cours pour le milieu de l’audiovisuel québécois, et que les défis sont plus colossaux que jamais, la SARTEC est rassurée de voir le ministre Mathieu Lacombe prolonger son mandat et garde espoir de voir certains dossiers se concrétiser avant la prochaine échéance électorale.

Entre le projet de loi 109 sur la souveraineté culturelle du Québec et édictant la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique, le déploiement des mesures du rapport du Groupe de travail sur l’avenir de l’audiovisuel au Québec, rendu public vendredi dernier, la mobilisation en vue des prochaines échéances fixées par l’UNESCO pour une meilleure protection de la diversité des expressions culturelles dans l’environnement numérique, il eut été pour le moins décourageant d’apprendre le départ du ministre de la Culture et des Communications à cette étape si charnière de son mandat : celle de la transformation des projets en actes concrets.

« Les enjeux auxquels fait face notre milieu sont plus complexes que jamais. Le ministre a fait preuve d’écoute et d’audace ces derniers mois. Sa reconduction à ce portefeuille ministériel lui donne l’occasion de faire aboutir certains dossiers essentiels pour notre avenir », déclare Chantal Cadieux, autrice et présidente de la SARTEC.

« Les menaces qui planent sur notre industrie sont réelles, sérieuses et plus qu'actuelles : baisse de financement, changement des habitudes de consommation, guerre tarifaire avec les États-Unis, comportements de mercenaires des plateformes en ligne qui convoitent notre marché mais veulent imposer leurs règles du  jeu », rappelle Laurent Dubois, directeur général de la SARTEC. « Le ministre Lacombe a encore beaucoup à faire avant les élections de l’automne 2026. Nous avons participé à de nombreuses consultations et ne sommes pas disposés à voir ces travaux se faire « tabletter » ! »

 

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