© Robert Etcheverry
Rapport du président 2019
Mathieu Plante
Ceux qui ont créé notre société d’auteurs en 1949 seraient fiers de constater, 70 ans plus tard, que nous écrivons toujours, en français, d’incontournables œuvres cinématographiques et télévisuelles, que nous adaptons les œuvres d’autres langues pour leur doublage en français, et, surtout, que nous continuons, par notre créativité et notre travail acharné, à nourrir notre culture, notre économie et notre démocratie. Oui, nos œuvres sont notre miroir, comme le rappelle Robert Armstrong dans son incontournable livre, « La télévision au Québec. Miroir d’une société », publié aux Presses de l’Université Laval.
Ceux qui ont créé la SARTEC salueraient tout le chemin que nous avons parcouru, mais ils auraient sans doute le tournis devant nos gigantesques défis, particulièrement auprès des jeunes publics, perdus dans l’abondance de contenu, principalement américain, dont les géants numériques nous inondent. Tout comme nous, ils seraient soucieux de notre capacité à porter nos récits à l’écran avec nos partenaires créateurs, interprètes, techniciens, producteurs et bailleurs de fonds. Je suis heureux que la SARTEC se soit investie pour contribuer à assurer l’avenir de notre métier et celle de notre industrie. Comme mon collègue Luc Dionne et moi le dénoncions ...
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