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La SARTEC salue l’adoption à l’unanimité, le 11 décembre dernier, du projet de loi 109 par l’Assemblée nationale. Cette loi affirmant la souveraineté culturelle du Québec et édictant la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique constitue une première étape importante — bien qu’incomplète — vers une meilleure découvrabilité de nos créations, et témoigne d’une prise de conscience partagée par l’ensemble des parlementaires quant à l’importance de ces enjeux.

L’Union des artistes et la SARTEC ont entamé une tournée de rencontres des différents partis politiques engagés dans la campagne électorale 2026 au Québec.

La présidente et le directeur général de la SARTEC, Chantal Cadieux et Laurent Dubois, ont rencontré en visioconférence le nouveau ministre de l'Identité et de la Culture canadiennes, Marc Miller, le 15 décembre.

Cette deuxième session pro organisée par la SARTEC a rassemblé près de 70 membres à l'Institut de tourisme et d'hôtellerie de Montréal (ITHQ), le 29 novembre. Une matinée ponctuée d'échanges et de partages d'idées sur le rayonnement de nos oeuvres dans la francophonie et sur la place de la culture dans la société québécoise de demain.

Les déclarations récentes de Paul St-Pierre Plamondon, chef du Parti québécois, vis-à-vis du milieu culturel a suscité de nombreux débats au cours des derniers jours. En tant qu’organisation issue de la société civile, la SARTEC rappelle que son mandat consiste à agir comme intermédiaire entre les gouvernements — quels qu’ils soient — et ses membres. Sans allégeance partisane, notre mission est claire : sensibiliser les décideurs aux enjeux du milieu de l’écriture et de la création audiovisuelle, et faire en sorte que ceux-ci soient pleinement considérés dans l’élaboration des politiques publiques.

La SARTEC félicite le nouveau ministre de l’Identité et de la Culture canadiennes, Marc Miller, pour sa nomination, et applaudit le choix rapide d’un ministre québécois d’expérience à ce poste.

La SARTEC accueille avec beaucoup de respect la décision de Steven Guilbeault de quitter son poste de ministre de l’Identité et de la Culture canadiennes et s’inquiète de la place réelle qu’occupe la culture dans la stratégie du premier ministre Mark Carney, à l’aube d’une renégociation de l’ACEUM avec les États-Unis et le Mexique.

En publiant cette semaine une première partie de ses décisions à la suite des consultations sur la définition de contenu canadien, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) semble céder à la tentation d’assouplir des règles qui protégeaient les créateurs et créatrices clefs que sont les scénaristes, réalisateur.trice.s et interprètes.

Avec l’annonce du premier budget du gouvernement dirigé par Mark Carney, le milieu de l’audiovisuel peut reprendre son souffle, et ce, même s’il manque au programme l’engagement clair et très attendu de mesures relatives au filet social des artistes.

« Dans le monde de l’intelligence artificielle générative, nous assistons à un cambriolage permanent d’œuvres d’art au nom de l’innovation. C’est un "Louvre ouvert" ». Notre directeur général, Laurent Dubois, signe une lettre ouverte dans Le Devoir. 

Le 27 octobre, la SARTEC a eu l’honneur de prendre la parole devant le Comité permanent du patrimoine canadien dans le cadre de ses consultations sur les répercussions du développement de l’intelligence artificielle dans les industries créatives.

La Chaire Unesco sur la diversité des expressions culturelles a réuni à Québec des expert.e.s, chercheur.euse.s et professionnel.le.s du milieu culturel à l’occasion du Colloque international « La culture face aux algorithmes : quel espace pour la souveraineté ? », auquel la SARTEC a pris part.